Menace terroriste : un exercice grandeur nature sur le site du Pont-du-Gard

  • Par CABCOM RGLR
  • Publié le 17 mai 2019
© MI DICOM – José Rocha et ADJ. David Mendiboure

Un exercice de sécurité civile de grande ampleur a été organisé, mardi 14 mai, sur le site du Pont-du-Gard, mobilisant plus de 450 personnels, militaires et civils.

La menace terroriste étant très présente sur l’ensemble du territoire national, le maintien d’un haut niveau de préparation opérationnelle destiné à répondre à un événement de type attentat constitue une priorité.

À ce titre, un exercice, codirigé par le service interministériel de défense et de protection civile et le commandant du groupement de gendarmerie départementale du Gard s’est déroulé mardi 14 mai, sur le site du Pont-du-Gard.

Mobilisant plus de 450 personnels, militaires et civils, il a permis de tester les procédures internes à la gendarmerie, tout particulièrement sous l'angle des interfaces avec les services partenaires (pompiers, SAMU, associations de sécurité civile, services des collectivités territoriales et de l’Établissement de Coopération Culturelle du Pont-du-Gard), ainsi que la prise en charge de nombreuses victimes et de leurs familles, dans l’éventualité d'une intervention dans le cadre d'une tuerie de masse.

Cet exercice a également permis de s'approprier un site qui, très fréquenté tout au long de l'année, verra également se dérouler deux étapes du Tour de France 2019.

  • Les militaires de la brigade de proximité de Montfrin – COB de Remoulins (30) – interviennent en primo-arrivants sur un exercice de tuerie de masse sur le site touristique du Pont du Gard.

    © MI DICOM – José Rocha et ADJ. David Mendiboure
  • Le Psig Sabre de Bagnols-sur-Cèze (30) vient renforcer le dispositif notamment grâce à leurs moyens complémentaires (protection balistique et puissance de feu augmentée).

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  • Les gendarmes mobiles de l’escadron 15/6 de gendarmerie mobile de Nîmes sont engagés sur l’exercice de tuerie de masse.

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  • Les gendarmes mobiles de Nîmes appuient les militaires du Psig Sabre de Bagnols-sur-Cèze lors de la progression à l’intérieur d’un bâtiment.

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  • Le Psig Sabre de Bagnols-sur-Cèze (30) est équipé de HK G36 et d’un bouclier balistique en plus de ses visières pare-balles.

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  • Un bouclage au plus large est assuré par les gendarmes départementaux.

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  • Les gendarmes procèdent systématiquement à la fouille des personnes évacuées afin de détecter un éventuel terroriste cherchant à prendre la fuite.

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  • Les gendarmes des Section et Brigade de recherches participent à l’identification des victimes.

    © MI DICOM – José Rocha et ADJ. David Mendiboure
  • Le point de rassemblement des victimes se situe à l’intérieur du gymnase le plus proche du lieu d’exercice de tuerie de masse.

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  • Une cellule « Urgence Médico Psychologique » est mise en place par le SAMU30 pour prendre en compte les personnes psychologiquement affectées par la tuerie de masse.

    © MI DICOM – José Rocha et ADJ. David Mendiboure
  • Les motocyclistes de l’EDSR du Gard escortent les ambulances qui évacuent les blessés les plus gravement touchés vers les centres hospitaliers avoisinants.

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  • Les sapeurs pompiers du Gard maquillent les plastrons dans un souci de réalité augmentée.

     

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  • Les militaires de la brigade de proximité de Montfrin – COB de Remoulins (30) – interviennent en primo-arrivants sur un exercice de tuerie de masse sur le site touristique du Pont du Gard.

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  • Le Psig Sabre de Bagnols-sur-Cèze (30) vient renforcer le dispositif notamment grâce à leurs moyens complémentaires (protection balistique et puissance de feu augmentée).

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  • Les gendarmes mobiles de l’escadron 15/6 de gendarmerie mobile de Nîmes sont engagés sur l’exercice de tuerie de masse.

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  • Les gendarmes mobiles de Nîmes appuient les militaires du Psig Sabre de Bagnols-sur-Cèze lors de la progression à l’intérieur d’un bâtiment.

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  • Le Psig Sabre de Bagnols-sur-Cèze (30) est équipé de HK G36 et d’un bouclier balistique en plus de ses visières pare-balles.

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  • Un bouclage au plus large est assuré par les gendarmes départementaux.

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  • Les gendarmes procèdent systématiquement à la fouille des personnes évacuées afin de détecter un éventuel terroriste cherchant à prendre la fuite.

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  • Les gendarmes des Section et Brigade de recherches participent à l’identification des victimes.

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  • Le point de rassemblement des victimes se situe à l’intérieur du gymnase le plus proche du lieu d’exercice de tuerie de masse.

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  • Une cellule « Urgence Médico Psychologique » est mise en place par le SAMU30 pour prendre en compte les personnes psychologiquement affectées par la tuerie de masse.

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  • Les motocyclistes de l’EDSR du Gard escortent les ambulances qui évacuent les blessés les plus gravement touchés vers les centres hospitaliers avoisinants.

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  • Les sapeurs pompiers du Gard maquillent les plastrons dans un souci de réalité augmentée.

     

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