Ravivage de la flamme du soldat inconnu

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

  • Sirpa Gend © GND F. Garcia

Dans la continuité des commémorations du 11 novembre, le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, Laurent Nunez a présidé, mardi 12 novembre, en début de soirée, la cérémonie de ravivage de la flamme sur la tombe du soldat inconnu. À ses côtés, de nombreuses autorités politiques et militaires, parmi lesquelles des représentants de la gendarmerie, se sont rassemblées sous l’Arc de Triomphe, autour des anciens combattants.

Cette flamme symbolise à la fois l’importance du devoir de mémoire et l’espoir en l’avenir de notre pays. C’est André Maginot qui, pour la première fois, alluma la flamme, le 11 novembre 1923, alors qu’il était ministre de la Guerre.

Le cérémonial de ravivage n’a jamais cessé depuis, y compris durant la période d’occupation. Assuré par le comité de la flamme, composé d’anciens combattants, relayé parfois par d’autres associations, il a lieu tous les soirs à 18 h 30, selon un déroulé précis : défilé jusqu’à l’Arc, dépôt de gerbes, ravivage avec un glaive, suivi de la sonnerie « aux morts » et d’une minute de silence, puis de la signature du livre d’or et remerciements.