Tour de France 2019 : revivez le Tour en images ! 3/4

  • Pour la première fois, un escadron de gendarmerie mobile dédié a été déployé sur l’ensemble du Tour de France, afin de faire face aux potentielles menaces en matière d’ordre public. Il a permis de renforcer le dispositif de sécurité et d’apporter son savoir-faire en matière de gestion de l’ordre public.

    © Sirpa Gend – MAJ F. Balsamo
  • Cette édition 2019, comme les précédentes, s’est traditionnellement achevée sur les Champs-Élysées, avec une particularité cette année : une arrivée en nocturne. Un large périmètre a été mis en place, avec barrières et filtrage de tous les spectateurs et une interdiction de circulation.

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  • Ces gardes républicains ouvrent la route au peloton, récupèrent les coureurs en détresse ou encore escortent les véhicules.

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  • Chaque jour, les forces de l’ordre ont patrouillé sur les sites de départ et d’arrivée de la course.

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  • À l’approche des coureurs, la sécurité est à son paroxysme. La prudence reste de mise, tant pour les coureurs que pour les spectateurs. Ainsi, il est totalement proscrit de toucher les sportifs ou de courir à leurs côtés. Les objets volants, tels que les drones ou les cerfs-volants sont également interdits, tout comme les fumigènes.

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  • Les gendarmes ont assuré la sécurité des millions de spectateurs présents sur le parcours, parfois aussi enchantés que déchaînés.

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  • Certains amoureux du Tour n’ont pas hésité à enfourcher leur vélo pour grimper, notamment le col du Galibier, quelques heures avant le passage des coureurs. Difficile de tous les déloger au moment où la route doit être fermée et sécurisée pour le passage de la caravane et des cyclistes.

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  • Des kits de prévention ont été distribués aux maires des communes labellisées, afin de les sensibiliser aux bons comportements à adopter lors du passage de la caravane et des coureurs.

    © D.R.
  • Cette édition 2019, comme les précédentes, s’est traditionnellement achevée sur les Champs-Élysées, avec une particularité cette année : une arrivée en nocturne. Un large périmètre a été mis en place, avec barrières et filtrage de tous les spectateurs et une interdiction de circulation.

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  • « Votre vie vaut bien plus qu’un cadeau publicitaire, ne prenez pas de risque pour les ramasser », « Au passage de la caravane publicitaire, ne laissez pas vos enfants sans surveillance », sont des exemples de messages de prévention délivrés par les six femmes et six hommes de la caravane gendarmerie.

    © Sirpa Gend – MAJ F. Balsamo
  • Le Tour a été l’occasion du premier engagement de l’Unité opérationnelle franco-allemande (UOFA), lors des étapes frontalières reliant Saint-Dié-des-Vosges à Colmar, puis Mulhouse à la Planche-des-Belles-Filles, les 10 et 11 juillet.

    © D.R.
  • Ces gardes républicains ouvrent la route au peloton, récupèrent les coureurs en détresse ou encore escortent les véhicules.

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  • La configuration du réseau routier et les importantes perturbations prévisibles ont rendu impossible la mise en place d’itinéraires de déviation.

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  • Un dispositif composé de 13 000 gendarmes a permis aux spectateurs et aux coureurs de vivre le Tour de France en toute sécurité.

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  • Chaque jour, les forces de l’ordre ont patrouillé sur les sites de départ et d’arrivée de la course.

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  • Pour la première fois, les cyclistes ont gravi les grands cols mythiques des Hautes-Alpes (cols de Vars, de l’Izoard, du Lautaret et du Galibier), par le versant sud, en une seule journée. Ces ascensions, qui attirent traditionnellement des milliers de spectateurs, venus admirer les cyclistes dans l’effort, ont imposé un dispositif important et une organisation minutieuse.

    © Sirpa Gend – MAJ F. Balsamo
  • Le relief montagneux et l’ascension des cols ont représenté une contrainte majeure en termes de conception de manœuvre. La préparation, bien en amont du passage du Tour, a impliqué de nombreux acteurs. Gestionnaires de route, organisateurs, collectivités territoriales, services de sécurité, services de secours ont tous apporté leur expertise afin que chacun puisse vivre la course en toute sécurité.

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  • Cette édition 2019, comme les précédentes, s’est traditionnellement achevée sur les Champs-Élysées, avec une particularité cette année : une arrivée en nocturne. Un large périmètre a été mis en place, avec barrières et filtrage de tous les spectateurs et une interdiction de circulation.

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  • Pour la première fois, un escadron de gendarmerie mobile dédié a été déployé sur l’ensemble du Tour de France, afin de faire face aux potentielles menaces en matière d’ordre public. Il a permis de renforcer le dispositif de sécurité et d’apporter son savoir-faire en matière de gestion de l’ordre public.

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  • Cette édition 2019, comme les précédentes, s’est traditionnellement achevée sur les Champs-Élysées, avec une particularité cette année : une arrivée en nocturne. Un large périmètre a été mis en place, avec barrières et filtrage de tous les spectateurs et une interdiction de circulation.

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  • Ces gardes républicains ouvrent la route au peloton, récupèrent les coureurs en détresse ou encore escortent les véhicules.

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  • Chaque jour, les forces de l’ordre ont patrouillé sur les sites de départ et d’arrivée de la course.

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  • À l’approche des coureurs, la sécurité est à son paroxysme. La prudence reste de mise, tant pour les coureurs que pour les spectateurs. Ainsi, il est totalement proscrit de toucher les sportifs ou de courir à leurs côtés. Les objets volants, tels que les drones ou les cerfs-volants sont également interdits, tout comme les fumigènes.

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  • Les gendarmes ont assuré la sécurité des millions de spectateurs présents sur le parcours, parfois aussi enchantés que déchaînés.

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  • Certains amoureux du Tour n’ont pas hésité à enfourcher leur vélo pour grimper, notamment le col du Galibier, quelques heures avant le passage des coureurs. Difficile de tous les déloger au moment où la route doit être fermée et sécurisée pour le passage de la caravane et des cyclistes.

    © Sirpa Gend – MAJ F. Balsamo
  • Des kits de prévention ont été distribués aux maires des communes labellisées, afin de les sensibiliser aux bons comportements à adopter lors du passage de la caravane et des coureurs.

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  • Cette édition 2019, comme les précédentes, s’est traditionnellement achevée sur les Champs-Élysées, avec une particularité cette année : une arrivée en nocturne. Un large périmètre a été mis en place, avec barrières et filtrage de tous les spectateurs et une interdiction de circulation.

    © Sirpa Gend – MAJ F. Balsamo
  • « Votre vie vaut bien plus qu’un cadeau publicitaire, ne prenez pas de risque pour les ramasser », « Au passage de la caravane publicitaire, ne laissez pas vos enfants sans surveillance », sont des exemples de messages de prévention délivrés par les six femmes et six hommes de la caravane gendarmerie.

    © Sirpa Gend – MAJ F. Balsamo
  • Le Tour a été l’occasion du premier engagement de l’Unité opérationnelle franco-allemande (UOFA), lors des étapes frontalières reliant Saint-Dié-des-Vosges à Colmar, puis Mulhouse à la Planche-des-Belles-Filles, les 10 et 11 juillet.

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  • Ces gardes républicains ouvrent la route au peloton, récupèrent les coureurs en détresse ou encore escortent les véhicules.

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  • La configuration du réseau routier et les importantes perturbations prévisibles ont rendu impossible la mise en place d’itinéraires de déviation.

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  • Un dispositif composé de 13 000 gendarmes a permis aux spectateurs et aux coureurs de vivre le Tour de France en toute sécurité.

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  • Chaque jour, les forces de l’ordre ont patrouillé sur les sites de départ et d’arrivée de la course.

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  • Pour la première fois, les cyclistes ont gravi les grands cols mythiques des Hautes-Alpes (cols de Vars, de l’Izoard, du Lautaret et du Galibier), par le versant sud, en une seule journée. Ces ascensions, qui attirent traditionnellement des milliers de spectateurs, venus admirer les cyclistes dans l’effort, ont imposé un dispositif important et une organisation minutieuse.

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  • Le relief montagneux et l’ascension des cols ont représenté une contrainte majeure en termes de conception de manœuvre. La préparation, bien en amont du passage du Tour, a impliqué de nombreux acteurs. Gestionnaires de route, organisateurs, collectivités territoriales, services de sécurité, services de secours ont tous apporté leur expertise afin que chacun puisse vivre la course en toute sécurité.

    © Sirpa Gend – MAJ F. Balsamo
  • Cette édition 2019, comme les précédentes, s’est traditionnellement achevée sur les Champs-Élysées, avec une particularité cette année : une arrivée en nocturne. Un large périmètre a été mis en place, avec barrières et filtrage de tous les spectateurs et une interdiction de circulation.

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La 106e édition du Tour de France s'est achevée dimanche 28 juillet sur les Champs-Élysées, à Paris. Gendarmes départementaux, mobiles, réservistes, unité opérationnelle franco-allemande, motocyclistes de la garde républicaine, groupe d’intervention de la gendarmerie nationale, forces aériennes de gendarmerie, équipes cynophiles spécialisées dans la recherche d’explosifs sur personne en mouvement ont assuré la protection des coureurs et des spectateurs tout au long des 3 460 kilomètres de la Grande Boucle. Retour sur trois semaines intenses de prévention, de protection et de sécurisation.