Tour de France 2019 : revivez le Tour en images ! 4/4

  • Présent dans la caravane publicitaire du Tour de France depuis 1995, le détachement de gendarmerie se compose de quatre véhicules et de douze gendarmes.

    © Sirpa Gend – MAJ F. Balsamo
  • En cas d’urgence, sur la course et dans la caravane, les motocyclistes sont bien souvent le premier niveau d’intervention et permettent aux services de secours d’intervenir dans des conditions de sécurité optimales.

    © Sirpa Gend – MAJ F. Balsamo
  • Cette planification a nécessité de nombreuses réunions et des séances de repérage sur le terrain avec les forces de l’ordre. Les équipes en charge du dispositif de sécurité ont ainsi pu détecter, en amont, sur le parcours, les points sensibles en termes d’affluence.

    © Sirpa Gend – MAJ F. Balsamo
  • Certains amoureux du Tour n’ont pas hésité à enfourcher leur vélo pour grimper, notamment le col du Galibier, quelques heures avant le passage des coureurs. Difficile de tous les déloger au moment où la route doit être fermée et sécurisée pour le passage de la caravane et des cyclistes.

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  • La configuration du réseau routier et les importantes perturbations prévisibles ont rendu impossible la mise en place d’itinéraires de déviation.

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  • De nombreux camping-caristes ont garé leur véhicule dans les nombreux virages en épingle de la montée vers le Galibier. La plupart sont arrivés la veille, parfois même quelques jours avant, pour s’offrir une place de choix. Les accès aux cols ont été fermés à la circulation bien longtemps avant le passage du Tour. Aucun espace n’est laissé vacant.

    © Sirpa Gend – MAJ F. Balsamo
  • Cette édition 2019, comme les précédentes, s’est traditionnellement achevée sur les Champs-Élysées, avec une particularité cette année : une arrivée en nocturne. Un large périmètre a été mis en place, avec barrières et filtrage de tous les spectateurs et une interdiction de circulation.

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  • La mission des caravaniers : délivrer des messages de prévention aux millions de spectateurs de la Grande Boucle.

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  • Pour la première fois, les cyclistes ont gravi les grands cols mythiques des Hautes-Alpes (cols de Vars, de l’Izoard, du Lautaret et du Galibier), par le versant sud, en une seule journée. Ces ascensions, qui attirent traditionnellement des milliers de spectateurs, venus admirer les cyclistes dans l’effort, ont imposé un dispositif important et une organisation minutieuse.

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  • 45 gendarmes de l’escadron motocycliste de la garde républicaine ont sécurisé le passage de la caravane publicitaire, des coureurs et des véhicules suiveurs.

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  • Certains amoureux du Tour n’ont pas hésité à enfourcher leur vélo pour grimper, notamment le col du Galibier, quelques heures avant le passage des coureurs. Difficile de tous les déloger au moment où la route doit être fermée et sécurisée pour le passage de la caravane et des cyclistes.

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  • Cette édition 2019, comme les précédentes, s’est traditionnellement achevée sur les Champs-Élysées, avec une particularité cette année : une arrivée en nocturne. Un large périmètre a été mis en place, avec barrières et filtrage de tous les spectateurs et une interdiction de circulation.

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  • Le relief montagneux et l’ascension des cols ont représenté une contrainte majeure en termes de conception de manœuvre. La préparation, bien en amont du passage du Tour, a impliqué de nombreux acteurs. Gestionnaires de route, organisateurs, collectivités territoriales, services de sécurité, services de secours ont tous apporté leur expertise afin que chacun puisse vivre la course en toute sécurité.

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  • En cas d’urgence, sur la course et dans la caravane, les motocyclistes sont bien souvent le premier niveau d’intervention et permettent aux services de secours d’intervenir dans des conditions de sécurité optimales.

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  • La mission des caravaniers : délivrer des messages de prévention aux millions de spectateurs de la Grande Boucle.

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  • Pour la première fois, les cyclistes ont gravi les grands cols mythiques des Hautes-Alpes (cols de Vars, de l’Izoard, du Lautaret et du Galibier), par le versant sud, en une seule journée. Ces ascensions, qui attirent traditionnellement des milliers de spectateurs, venus admirer les cyclistes dans l’effort, ont imposé un dispositif important et une organisation minutieuse.

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  • 45 gendarmes de l’escadron motocycliste de la garde républicaine ont sécurisé le passage de la caravane publicitaire, des coureurs et des véhicules suiveurs.

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  • Présent dans la caravane publicitaire du Tour de France depuis 1995, le détachement de gendarmerie se compose de quatre véhicules et de douze gendarmes.

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  • Présent dans la caravane publicitaire du Tour de France depuis 1995, le détachement de gendarmerie se compose de quatre véhicules et de douze gendarmes.

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  • En cas d’urgence, sur la course et dans la caravane, les motocyclistes sont bien souvent le premier niveau d’intervention et permettent aux services de secours d’intervenir dans des conditions de sécurité optimales.

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  • Cette planification a nécessité de nombreuses réunions et des séances de repérage sur le terrain avec les forces de l’ordre. Les équipes en charge du dispositif de sécurité ont ainsi pu détecter, en amont, sur le parcours, les points sensibles en termes d’affluence.

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  • Certains amoureux du Tour n’ont pas hésité à enfourcher leur vélo pour grimper, notamment le col du Galibier, quelques heures avant le passage des coureurs. Difficile de tous les déloger au moment où la route doit être fermée et sécurisée pour le passage de la caravane et des cyclistes.

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  • La configuration du réseau routier et les importantes perturbations prévisibles ont rendu impossible la mise en place d’itinéraires de déviation.

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  • De nombreux camping-caristes ont garé leur véhicule dans les nombreux virages en épingle de la montée vers le Galibier. La plupart sont arrivés la veille, parfois même quelques jours avant, pour s’offrir une place de choix. Les accès aux cols ont été fermés à la circulation bien longtemps avant le passage du Tour. Aucun espace n’est laissé vacant.

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  • Cette édition 2019, comme les précédentes, s’est traditionnellement achevée sur les Champs-Élysées, avec une particularité cette année : une arrivée en nocturne. Un large périmètre a été mis en place, avec barrières et filtrage de tous les spectateurs et une interdiction de circulation.

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  • La mission des caravaniers : délivrer des messages de prévention aux millions de spectateurs de la Grande Boucle.

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  • Pour la première fois, les cyclistes ont gravi les grands cols mythiques des Hautes-Alpes (cols de Vars, de l’Izoard, du Lautaret et du Galibier), par le versant sud, en une seule journée. Ces ascensions, qui attirent traditionnellement des milliers de spectateurs, venus admirer les cyclistes dans l’effort, ont imposé un dispositif important et une organisation minutieuse.

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  • 45 gendarmes de l’escadron motocycliste de la garde républicaine ont sécurisé le passage de la caravane publicitaire, des coureurs et des véhicules suiveurs.

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  • Certains amoureux du Tour n’ont pas hésité à enfourcher leur vélo pour grimper, notamment le col du Galibier, quelques heures avant le passage des coureurs. Difficile de tous les déloger au moment où la route doit être fermée et sécurisée pour le passage de la caravane et des cyclistes.

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  • Cette édition 2019, comme les précédentes, s’est traditionnellement achevée sur les Champs-Élysées, avec une particularité cette année : une arrivée en nocturne. Un large périmètre a été mis en place, avec barrières et filtrage de tous les spectateurs et une interdiction de circulation.

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  • Le relief montagneux et l’ascension des cols ont représenté une contrainte majeure en termes de conception de manœuvre. La préparation, bien en amont du passage du Tour, a impliqué de nombreux acteurs. Gestionnaires de route, organisateurs, collectivités territoriales, services de sécurité, services de secours ont tous apporté leur expertise afin que chacun puisse vivre la course en toute sécurité.

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  • En cas d’urgence, sur la course et dans la caravane, les motocyclistes sont bien souvent le premier niveau d’intervention et permettent aux services de secours d’intervenir dans des conditions de sécurité optimales.

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  • La mission des caravaniers : délivrer des messages de prévention aux millions de spectateurs de la Grande Boucle.

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  • Pour la première fois, les cyclistes ont gravi les grands cols mythiques des Hautes-Alpes (cols de Vars, de l’Izoard, du Lautaret et du Galibier), par le versant sud, en une seule journée. Ces ascensions, qui attirent traditionnellement des milliers de spectateurs, venus admirer les cyclistes dans l’effort, ont imposé un dispositif important et une organisation minutieuse.

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  • 45 gendarmes de l’escadron motocycliste de la garde républicaine ont sécurisé le passage de la caravane publicitaire, des coureurs et des véhicules suiveurs.

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  • Présent dans la caravane publicitaire du Tour de France depuis 1995, le détachement de gendarmerie se compose de quatre véhicules et de douze gendarmes.

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La 106e édition du Tour de France s'est achevée dimanche 28 juillet sur les Champs-Élysées, à Paris. Gendarmes départementaux, mobiles, réservistes, unité opérationnelle franco-allemande, motocyclistes de la garde républicaine, groupe d’intervention de la gendarmerie nationale, forces aériennes de gendarmerie, équipes cynophiles spécialisées dans la recherche d’explosifs sur personne en mouvement ont assuré la protection des coureurs et des spectateurs tout au long des 3 460 kilomètres de la Grande Boucle. Retour sur trois semaines intenses de prévention, de protection et de sécurisation.