Décès de trois gendarmes dans le Puy-de-Dôme : le ministre de l’Intérieur se rend sur place

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Ce mercredi, aux alentours de midi, au côté du général de corps d'armée Bruno Jockers, major général de la gendarmerie, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a pris la parole afin de s’exprimer sur l’événement tragique qui s’est déroulé dans la nuit de mardi à mercredi, à Saint-Just, dans le Puy-de-Dôme.

Alors qu’ils intervenaient dans le cadre de violences intra-familiales, le lieutenant Cyrille Morel, l’adjudant Rémi Dupuis et le brigadier Arno Mavel ont été tués par arme à feu sur les lieux. Un blessé, l’adjudant-chef Bertrand Boyon, est également à déplorer.

Dans son allocution, le ministre de l’Intérieur a souligné le caractère courageux et héroïque de l’intervention menée cette nuit pour secourir une femme, dénonçant les « circonstances particulièrement ignobles » dans lesquelles les militaires ont perdu la vie.

S’associant à la douleur des familles, épouses et orphelins, ainsi qu’aux camarades des gendarmes décédés, il leur a présenté toutes ses condoléances. « J’ai également une pensée pour le gendarme blessé qui, courageusement et à plusieurs reprises, malgré ses blessures, a voulu accomplir sa mission », a souligné le ministre.

De manière plus générale, Gérald Darmanin a remercié l’ensemble des forces de l’ordre pour le travail de protection qu’elles exercent quotidiennement, avant de rappeler qu’à ce jour, déjà onze de ses membres ont été tués en opération au cours de l’année 2020.

« Nous leur devons respect et reconnaissance ».