En Haute-Savoie, les PSIG se forment à la haute intensité

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Après le drame de Saint-Just, en décembre 2020, la gendarmerie a décidé de densifier ses Pelotons de surveillance et d’intervention (PSIG). En clair, il s’agit de donner à ces unités les moyens et savoir-faire nécessaires pour faire face à des situations comme celle citée précédemment.

Parmi les savoir-faire, un accent a été mis sur la capacité des pelotons à œuvrer dans un environnement très dégradé, proche de ce que peuvent rencontrer les militaires lors d’une Opération extérieure (OPEX). Et justement, c’est à l’armée de Terre qu’a été confiée cette mission, à savoir les former au combat.

Plusieurs PSIG ont déjà reçu cette formation. Les 26 et 27 janvier, c’était au tour des PSIG Sabre de Saint-Julien-en-Genevois et de Bonneville, ainsi que ceux d'Annecy, de Thonon-les-Bains et de Sallanches de se confronter à cette instruction.

Dispensée par le 27e bataillon de chasseurs alpins, elle se composait d’une révision des actes élémentaires du combattant, avant de passer à la pratique des manœuvres sous le feu. Enfin, ces journées comportaient également de l’instruction au tir de combat, au tir technique, aux techniques d'action immédiate, des parcours naturels et de bivouac, pour la cohésion.

Parallèlement, le groupement de gendarmerie départementale de Haute-Savoie conduit un cycle d'exercices et de préparation à un engagement de haute intensité, comme un acte de terrorisme. Ces exercices sont conduits sur deux sites touristiques: le lac Léman et celui d’Annecy, tous deux très fréquentés.