Les pilotes de la Drôme, principal rempart face aux comportements dangereux sur la route

  • Excès de vitesse pouvant aller jusqu’à plus de 250 km/h, utilisation abusive la Bande d’arrêt d’urgence (BAU), mais aussi conduite sous l’emprise de stupéfiants ou d’alcool ou encore utilisation du téléphone au volant, rien ne leur échappe. 

    © GAV M-A. Saillet
  • Excès de vitesse pouvant aller jusqu’à plus de 250 km/h, utilisation abusive la Bande d’arrêt d’urgence (BAU), mais aussi conduite sous l’emprise de stupéfiants ou d’alcool ou encore utilisation du téléphone au volant, rien ne leur échappe. 

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  • Grâce à la maîtrise parfaite de leur véhicule, ils sont capables de rattraper des contrevenants de la route jusqu’à des vitesses très importantes. Un véritable outil de dissuasion et d’intervention extrêmement efficace, notamment sur des interpellations de véhicules étrangers ou loués par des sociétés opaques, face auxquels l’action des radars fixes est limitée.

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  • Dans la Drôme, le domaine d’action des gendarmes de l’ERI s’étend bien au-delà de celui du peloton d’autoroute de Valence, couvrant ainsi une distance de 150 km, du nord de Valence jusqu’à Bollène, au sud de Montélimar.

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  • Depuis le premier confinement, l’activité des pilotes a triplé. Les excès de vitesse, déjà monnaie courante dans la vallée du Rhône, ont explosé, avec des pointes relevées à parfois plus de 200 km/h. Autre problématique qui s’est accentuée depuis la crise de la Covid-19 : les refus d’obtempérer. Pour se protéger face à ces comportements, mais aussi pour protéger les citoyens, les véhicules rapides d’intervention sont équipés, depuis 5 ans, d’une caméra et d’un enregistreur qui se déclenchent automatiquement. Ces outils, extrêmement précieux, facilitent également l’ensemble des procédures judiciaires consécutives aux interpellations, apportant une preuve concrète et incontestable des faits.

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  • Au-delà de leur action sur cette portion d’asphalte de 150 km de long, les pilotes de l’ERI sont aussi chargés de dissuader et de réprimer toutes les infractions commises sur les aires d’autoroute. Parmi les plus courantes, se trouvent les vols à la roulotte, eux aussi en forte augmentation ces derniers mois.

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  • Aussi puissantes et indispensables qu'elles soient, les Mégane RS arrivent bientôt en bout de course. Cette année, elles fêtent en effet leurs 10 ans. Dix années de bons et loyaux services, avec au compteur déjà plus de 265 000 km. À Valence, les gendarmes attendent donc avec impatience la nouvelle génération de véhicules rapides d’intervention.

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  • Excès de vitesse pouvant aller jusqu’à plus de 250 km/h, utilisation abusive la Bande d’arrêt d’urgence (BAU), mais aussi conduite sous l’emprise de stupéfiants ou d’alcool ou encore utilisation du téléphone au volant, rien ne leur échappe. 

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  • Excès de vitesse pouvant aller jusqu’à plus de 250 km/h, utilisation abusive la Bande d’arrêt d’urgence (BAU), mais aussi conduite sous l’emprise de stupéfiants ou d’alcool ou encore utilisation du téléphone au volant, rien ne leur échappe. 

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  • Grâce à la maîtrise parfaite de leur véhicule, ils sont capables de rattraper des contrevenants de la route jusqu’à des vitesses très importantes. Un véritable outil de dissuasion et d’intervention extrêmement efficace, notamment sur des interpellations de véhicules étrangers ou loués par des sociétés opaques, face auxquels l’action des radars fixes est limitée.

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  • Dans la Drôme, le domaine d’action des gendarmes de l’ERI s’étend bien au-delà de celui du peloton d’autoroute de Valence, couvrant ainsi une distance de 150 km, du nord de Valence jusqu’à Bollène, au sud de Montélimar.

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  • Depuis le premier confinement, l’activité des pilotes a triplé. Les excès de vitesse, déjà monnaie courante dans la vallée du Rhône, ont explosé, avec des pointes relevées à parfois plus de 200 km/h. Autre problématique qui s’est accentuée depuis la crise de la Covid-19 : les refus d’obtempérer. Pour se protéger face à ces comportements, mais aussi pour protéger les citoyens, les véhicules rapides d’intervention sont équipés, depuis 5 ans, d’une caméra et d’un enregistreur qui se déclenchent automatiquement. Ces outils, extrêmement précieux, facilitent également l’ensemble des procédures judiciaires consécutives aux interpellations, apportant une preuve concrète et incontestable des faits.

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  • Au-delà de leur action sur cette portion d’asphalte de 150 km de long, les pilotes de l’ERI sont aussi chargés de dissuader et de réprimer toutes les infractions commises sur les aires d’autoroute. Parmi les plus courantes, se trouvent les vols à la roulotte, eux aussi en forte augmentation ces derniers mois.

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  • Aussi puissantes et indispensables qu'elles soient, les Mégane RS arrivent bientôt en bout de course. Cette année, elles fêtent en effet leurs 10 ans. Dix années de bons et loyaux services, avec au compteur déjà plus de 265 000 km. À Valence, les gendarmes attendent donc avec impatience la nouvelle génération de véhicules rapides d’intervention.

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Véritables virtuoses de la route, les militaires des Équipes rapides d’intervention (ERI) font partie de l’élite des pilotes de la gendarmerie nationale. En France, ils ne sont qu’une centaine à intervenir sur l’ensemble des axes autoroutiers. Souvent craints par les délinquants de la route, les pilotes des ERI ont à leur disposition une cinquantaine de véhicules rapides d’intervention, répartis sur tout le territoire. Ces véhicules, les fameuses Mégane RS, sont complétés sur le terrain par l’utilisation de voitures banalisées permettant aux militaires spécialisés de se fondre dans la circulation. C’est le cas à Valence, où la fréquentation souvent importante de l’axe impose ce recours au véhicule banalisé. C’est d’ailleurs dans cette ville, et plus largement dans le département de la Drôme, que fut créée, en 1967, la première BRI (Brigade Rapide d’Intervention) de France. Aujourd’hui, ils sont quatre pilotes à œuvrer jour et nuit pour lutter contre les comportements dangereux au volant, particulièrement nombreux sur l’axe très fréquenté et accidentogène de l’A7.